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Album intéressant, musiques très différentes de Trust. Bernie offre des choses nouvelles dans sa carrière solo. Je n'accroche pas à 100%, mais j'y trouve un certain plaisir. Je note le titre "Drôles de gens", sorti en 2000 sur l'album "Ni Dieu ni Maître", avec les mêmes paroles, même musique mais nouvelle orchestration.
Là où je suis déçu avec Bonvoisin, c'est que je ne comprends pas toujours le sens des textes.
Bel effort. Ca vaut bien un 3/5.
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je rejoins Kingeddie sur son appréciation , ce groupe fut grand , l'age aidant les ptis' vieux se sont calmés .
Les morceaux sont sympas pour la plupart mais ça s’arrête la , Gillian se la joue cool comme le reste du groupe , il n'a plus la force de pousser la gueulante et ça s'entend et se comprend , d'ailleurs celui ci refusait de reprendre "child in time" sur scène au moment du retour de Blackmore , ses capacités physiques ne lui permettant plus un tel effort
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Je sais que je vais m'attirer les foudres des fans mais bon... j'avoue que pour moi Deep c'était surtout Blackmore et Lord avec Gillan en hurleur... depuis longtemps déjà, j'ai écouté les opus avec Morse sans jamais être convaincu : pas de riff puissant,pas d'accroche mélodique et surtout pas de soli classico-rock emprunté à Bach !! Donc pour moi le Deep est dans le coma depuis presque 30 ans et les séquelles sorties depuis ne m'ont jamais fait bouger une oreille...ce dernier album n'échappe malheureusement pas à la règle : je me suis endormi bien avant le dernier morceau...en me réveillant,je me suis dit : c'est marrant ça ressemble à Deep Purple mais en moins bien... désolé..
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Très juste Chronique de Corto.
Je signalerai juste que Purple a eu l'excellente idée de conclure (hors titre bonus) ce dernier album par le tout premier titre du premier album de 1968 'And The Adress' qui n'est pas juste un instrumental posé là mais une belle façon de boucler la boucle.
Mais oui, voilà un très bel album, débarrassé de toute volonté de plaire à quelqu'un d'autre qu'à eux mêmes. 'Nothing At All' est un vrai bijou, posé là en fin de carrière au beau milieu de cet album, presque mine de rien. Qui d'autre aurait pu pondre un titre pareil ?!
Une fois encore Airey semble avec Paice le grand gagnant dans ce "Whoosh", juste devant Gillan et les autres. C'est bon, c'est frais, oui ça sonne parfois le déjà entendu (plus que sur "Infinite"), mais après plus de 50 ans de carrière, on peut comprendre.
Quoiqu'il en soit Bob Ezrin a beaucoup apporté depuis son arrivée au sein du groupe, qu'il en soit remercié.
Si c'est le dernier, c'est une belle façon de conclure.
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Trust continue sur la même lancée que le précédent. Il n'y a plus l'effet de surprise.
Les riffs sont bons, omniprésents. Le son envoie du lourd. Bernie assure au chant. Les textes sont peu tranchants.
Ca s'écoute avec plaisir, grosses guitares, la rythmique qui assure.
Bon album.
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Le sirocco ( "Shehili" en tunisien) est un vent saharien violent et chaud. Il était difficile pour Myrath de trouver un meilleur nom à cet album. Les premières écoutes peuvent être un peu déconcertantes pour les amateurs de metal prog tant l’aspect progressif de la musique du groupe est réduite à la portion congrue. Si "Legacy" était un album un peu bancal qui semblait ne pas savoir choisir entre metal prog et metal symphonique, "Shehili" est en tout point remarquable car justement Myrath a choisi. Et en faisant le choix du metal symphonique, le groupe fait coup double, d’une part en développant définitivement son identité orientale au travers de mélodies somptueuses et addictives et d’autre part en s’affirmant comme le seul groupe actuel à être capable de le faire avec autant de précision et de subtilité. L’équilibre entre riffs metal et gammes orientales relève ici de la formule magique, si bien que le souffle chaud du « Shehili » risque fort d’envahir vos enceintes pendant plus d’une saison. Magnifique !
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