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Neal Morse est un artiste de grand talent qui a plusieurs cordes à son arc. D’un côté, c’est l’un des meilleurs compositeurs et interprètes de rock progressif depuis de nombreuses années. Que ce soit au sein de groupes tels Spock’s Beard, Transatlantic ou Flying Colors ou en solo, l’homme a un style caractéristique qui permet de l’identifier au premier coup d’oreille et délivre toujours des albums de grande qualité que ce soit pour leurs compositions ou leur interprétation.
En parallèle, Neal Morse revient régulièrement à des choses plus simples, délivrant épisodiquement en solo ou au sein de collaborations avec D’Virgilio et Jennings ("Troïka") ou Portnoy et George (le présent album et ses successeurs) des disques de pop/rock sans aucune prétention progressive.
Il convient donc d’aborder ces albums comme tels. S’attendre à un nouveau sommet du rock progressif ne peut qu’engendrer une cruelle déception, telle que l’ont ressentie les chroniqueurs m’ayant précédé. Mais si l’on ne déforme pas son appréciation par le filtre de ce prisme subjectif, force est de reconnaître que Neal Morse est aussi talentueux comme compositeur et interprète d’un rock "basique" que comme celui d’un rock progressif.
Concernant ce "Cover to Cover", il n’est bien évidemment pas question de talent de compositeur puisqu’il s’agit d’un album de reprises, reprises très fidèles aux originaux, un parti pris dont Morse ne s’écarte jamais tant dans ses collaborations avec Portnoy et George qu’au sein de Transatlantic. Mais l’interprétation est sans faille et ressemble parfois de façon hallucinante aux titres d’origine. "Cover to Cover" n’est rien d’autre qu’un album de reprises, mais remarquablement exécuté. La qualité intrinsèque des titres fait le reste et l’on passe un excellent moment à écouter ces madeleines de Proust.
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Album intéressant, musiques très différentes de Trust. Bernie offre des choses nouvelles dans sa carrière solo. Je n'accroche pas à 100%, mais j'y trouve un certain plaisir. Je note le titre "Drôles de gens", sorti en 2000 sur l'album "Ni Dieu ni Maître", avec les mêmes paroles, même musique mais nouvelle orchestration.
Là où je suis déçu avec Bonvoisin, c'est que je ne comprends pas toujours le sens des textes.
Bel effort. Ca vaut bien un 3/5.
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C'est le premier album que j'ai pu écouter de ce groupe quelques années en retard après sa sortie. Et ce fût une claque. Dès le 1er titre ça déboule de tout les côtés, claviers entêtant, guitare qui crache ses riffs, section rythmique qui fait battre la mesure du pied ..... Même si le rythme ralenti sur les morceaux suivants, c'est les belles mélodies simples et raccrocheuses qui gardent toute notre attention. Et les titres défilent ainsi jusqu'à la fin et je me surprend a en vouloir plus un peu déçu que les 9 morceaux soient passés si vite. J'ai depuis étanché ma soif de Manfred Mann en ayant acquis tout les autres albums ( d'une qualité inégale il faut bien l'avouer ).
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Album rock/folk sympathique où l'on sent effectivement le poids des âges sur le plan vocal. L'entame manque clairement de modernité (un gros retour aux 70's) avant que des sonorités plus percutantes ne viennent donner la réplique à la flûte omni-présente et dont il faut souligner l'absence de caractère sur-joué qui parcourait certaines productions récentes du sieur Anderson.
Petit bémol également sur la durée des titres qui limite certains développements instrumentaux.
Reste au final une galette plus agréable et consistante que celle qui l'a précédée.
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Achtung Baby est un disque fabuleux, extraordinaire, inouï même. Un chef-d"oeuvre en or massif réalisé par un groupe qui était déjà au sommet en 1987 avec une musique complètement différente. Encensé par la critique avec une note aujourd'hui de 93/100 sur Metacritic et adoré par les fans du monde entier (18 millions de disques vendus), ce monument n'a pas pris une ride. Et puis Axel Rose des Gun's N'Roses a bien raison : One est l'une des plus grandes chansons jamais écrites.
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All That You Can't Leave Behing est le dernier chef-d'oeuvre de U2, rempli de tubes interprétés régulièrement en concerts et marquée aussi par une production d'une grande beauté. Les 6 premières chansons sont magnifiques, mention spéciale pour Beautiful Day, Elevation, Kite et In a Little While. New York est superbe aussi, dommage que le groupe l'ait zappé depuis plus de 20 ans en concert.
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