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Bien que certaines choses soient perfectibles, cet album n'en est pas moins de bonne qualité et mérite plusieurs écoutes pour se convaincre que l'univers de cet artiste vaut mieux que beaucoup d'autres que l'on nous matraque à la radio.
Mentions spéciales pour les titres "Quand la France s'endort", "Mon intimité en oubli" et "Ivresse".
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Grosse déception pour ce retour inutile du chant growl, qui ne sert pas l'oeuvre.
Le growl est la plus nulle des soit disant créations....pourquoi l'invite dans la musique métal prog....
En son temps Pink Floyd ne l'a utilisé , intelligemment, qu'une seul fois pour finir le merveilleux morceau "Careful with that axe Eugène"
Dommage pour une musique si bonne, si desservie par ce ridicule growl...
Dommage je m'étais épris pour ce groupe...
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5, c'est la note que je donne aux albums d'opeth depuis que j'ai adhéré aux compositions du groupe avec Watershed. Pas forcément en attente d'un retour de la voix growl mais en attente de nouvelles compositions ! Oui opeth comme peu d'autres groupes nous offre à chaque album de nouvelles approches musicales visitant d'autres styles et variant constamment le rythme d'un morceau, rien de linéaire on voyage dans chaque morceau avec de très très bon musiciens ! Et avec ce nouvel album, opeth relève encore le niveau, un plaisir d'écoute du début à fin (petit bémol pour le dernier morceau, je n'adhère pas). Les voix sont parfaitement maîtrisées avec une production qui les décales dans l'espace. Un album brillant ! Vivement le prochain ;-)
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Voilà un album qui a tout pour séduire les amateurs de rock progressif 70’s versant pastoral. Les compositions déroulent d’agréables mélodies aux transitions fluides sur lesquelles planent souvent des volutes de flûte donnant à l’ensemble un petit côté Genesis fort agréable. On pense aussi parfois au Camel des quatre premiers albums. Alors certes, il manque le côté innovant qu’avaient ces références, on ne retrouve pas l’audace de Genesis et le chant est moins théâtral que celui de Peter Gabriel. Mais "Tribus" n’en est pas moins un album très intéressant à découvrir et fort agréable à écouter.
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Je suis toujours surpris des avis sévères qui sont infligés à Glass Hammer tout au long de leur discographie, principalement dus au fait qu'ils sont (effectivement) très inspirés de YES. Mais en quoi cela est-il si négatif ? Je trouve la démarche assez injuste, et pour tout dire, très partiale. A mon sens, il faut totalement faire abstraction de cet aspect. La musique dispensée est bonne et c'est tout ce qui compte. Il n'y a aucune facilité ni complaisance de leur part, d'autant qu'il ne s'agit ni d'une pâle copie, ni d'un pur clonage à la façon de The Watch pour Genesis.
Ce 9ème volet est un concept-album basé sur la terrible période du 10 au 11 mai 1996 sur le Mt Everest, qui verra la disparition de 8 alpinistes. Un triste record qui aura longtemps marqué les esprits. Il s'en suivra 3 films et le récit du survivant Jon Krakauer (livre "Into Thin Air"), qui sert de base ici.
C'est un bel exemple de ce que Glass Hammer sait parfaitement faire, tant en terme d'écriture qu'au niveau de l'exécution. On perçoit le haut niveau d'investissement qui est apporté à la réalisation. Pour un fan de YES, ça fait toujours plaisir de retrouver des nappes de clavier fines et légères qui soutiennent chaque titre, ou bien cette basse de Steve Babb, virtuose, omniprésente, qui pousse la mélodie et structure chaque chanson avec une énergie remarquable. Cet album se dinstigue des précédents par un peu plus de subtilité dans la variété des sons et dans la production, plus précise et donnant un meilleur équilibre entre les différents instruments. Et ils sont pourtant nombreux, tout autant que les participants à ce travail, ce qui par certains aspects donne à cet album un petit côté "musique classique", en tout cas une certaine classe.
Premier choc, l'incomparable reprise de "South Side of the Sky" de YES, évidemment très opportun pour évoquer la haute montagne. Chanson finement arrangée, magnifiquement interprété par une Susie Bogdanowicz au chant très délicat, et qui évite l'écueil de vouloir coller à la voix et aux intonations de Jon Anderson.
Ce dernier est invité et participe à "Life by Light" sur cet album (et South Side bien entendu), ce qui au passage est une belle caution du travail du groupe. On remarque aussi la soigneuse retenue de celui-ci, sur les deux titres auxquels il participe, ce qui permet de ne pas trop "marquer" l'album de sa présence. Rien que pour cette reprise, l'album vaut le coup d'être acquis.
Les autres compositions ne sont pas en reste, avec chacune un caractère fort, adapté à la narration glacante. S'il est vrai que certaines pourraient émaner du groupe célèbre qui les inspire, il n'en reste pas moins qu'ils sont capables de motiver des écoutes répétées sans lasser. Avec deux titres de plus de 15 minutes et deux autres de plus de 9 minutes, cet opus offre tout ce que le rock progressif de l'époque bénie peut fournir en émotions. Une conception des thèmes de guitares très profonde, des voix sublimes travaillées au cordeau, de la complexité, des variations de mouvements riches et nombreuses. Tout est fait pour vous immerger dans le récit d'une aventure rude et cruelle. A ce propos, une écoute attentive des paroles est un plus tout à fait sensible.
J'ai remarqué des accents de Genesis, mais surtout de Big Big Train très perceptibles parfois, ce qui pose un contrepoint bienvenu au sujet des reproches qu'on leur fait trop systématiquement. Cela se sent, parfois dans "Ember Without Name" (notamment les interventions du violon), nettement dans "Into Thin Air" (vocalises qui font penser à feu David Longdon) et dans le dernier titre, magnifique envolée en tonalités mineures de 6 minutes et demi au final somptueux.
Donc, si vous aimez le prog, une musique très bien écrite, somptueusement jouée, avec une richesse d'instruments remarquable, avec des influences variées qui servent de tremplin à une création néanmoins complètement originale, avec en plus un thème abordé intéressant et grave, et si vous avez 70 minutes de libre devant vous, n'hésitez pas, ce serait dommage de louper ça !
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Le précédent album ne m'avait pas du tout convaincu, ça ne sera pas mieux avec ce nouvel album : morceaux inutilement longs, génie d'Hetfield disparu. Pas de morceau qui se détache...
Dommage encore une fois.
J'en arrive à me demander l'intérêt d'un nouvel album de metallica dans le futur. Je préfère donc me repencher sur Death Magnetic bien bien meilleur à mon sens.
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