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TITRE:

FRACTAL UNIVERSE (07 MARS 2025)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

METAL PROGRESSIF



Quatre ans après "The Impassable Horizon", les membres de Fractal Universe se livrent sans filtre sur leur nouvel album "The Great Filters"...
STRUCK - 18.04.2025 -
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Quatre ans après "The Impassable Horizon", l'horizon de Fractal Universe semble plus que jamais dégagé. En cette année 2025, les Lorrains nous propose "The Great Filters" qui sans révolutionner leur recette est un condensé de ce qui se fait de mieux en termes de death progressif. A l'occasion de la sortie de ce nouvel album qui traite du paradoxe de Fermi, Vince Wilquin et Valentin Pelletier se livrent dans une interview sans filtre bien sûr...





En 2019, nous avions rencontré vos deux autres comparses de l'époque. Nous pouvons donc vous poser notre question traditionnelle introductive. Quelle est la question qu’on vous a trop souvent posée et à laquelle vous auriez marre de répondre ?

Vince Wilquin : Pourquoi ce choix de nom du groupe et le lien avec la musique… On nous la pose très souvent...


Et on ne vous la posera pas. Pour votre album précédent la chronique sur Music Waves soulignait qu'il vous restait “un palier à franchir pour exploser”. Quel était ce palier selon vous et avez-vous réussi à passer ce cap ?


Valentin Pelletier : C'est difficile à dire parce qu'on est vraiment dans le processus de composition et on n'a pas forcément le recul pour savoir si le groupe explose ou pas.


Malgré tout, si sur cet album, vous n'avez pas forcément le recul, en revanche par rapport au précédent vous devez l’avoir et savoir ce qu'il fallait améliorer et garder pour améliorer la recette Fractal Universe…

Vince : Difficile à dire encore une fois parce que depuis l'intérieur, c'est toujours dur d'avoir ce recul même avec des années derrière soi. Je pense que de manière générale, avec ce nouvel album, on a continué à développer ce qu'on a proposé sur les précédents en affinant un petit peu les structures des morceaux et en se concentrant sur nos points forts et ce qui nous démarquait à savoir l'utilisation du saxophone que ce soit en concert ou en album. Je pense que ce sont des choses sur lesquelles c'est bon de capitaliser.
Mais qu'est-ce qu'il aurait fallu changer sur le précédent ? Je ne sais pas. Personnellement, j'ai tendance à me dire que les albums sont ce qu'ils sont à un moment donné et c'est le reflet de ce que nous étions.


Sur le nouvel album, le côté prog est beaucoup plus développé




Mais concrètement avec le recul, avez-vous constaté des améliorations dans votre recette ?

Vince : Je pense qu'on a tous progressé en tant que musiciens et c'est ce qui est le plus important. Tu continues à te développer à la fois en tant que musicien et en tant que personne. Mais forcément, un premier album ne pourra jamais avoir la maturité de ce que tu peux produire après dix ou vingt ans de carrière. Il faut garder en tête que c'est une empreinte du groupe à une date donnée et je pense qu'il ne faut pas renier ça.

Valentin : Il y a également eu une évolution logique de nos goûts musicaux. Sur le nouvel album, le côté prog est beaucoup plus développé que sur les autres -qui étaient plus death metal technique- alors que sur ce nouvel album, on a un côté prog plus poussé avec plus de chant clair…


Une musique cesse d'être progressive si elle se conforme aux codes !


Et comment expliquez-vous une telle évolution ?

Vince : Je pense que c'est une volonté de continuer à se renouveler, finalement. A savoir que c'est difficile pour un artiste de refaire toujours la même chose et d'en être satisfait. Certains groupes fonctionnent comme ça, ils ont leurs recettes et grand bien leur fasse mais ce n'est pas notre démarche. Il faut essayer de se renouveler car finalement, une musique cesse d'être progressive si elle se conforme aux codes !


Dans ces conditions, et pour revenir à la question posée autrement, à défaut de savoir ce qu’il fallait faire évoluer, quel est le cœur, le fil rouge de la recette Fractal Universe que vous vous faites fort de reproduire dans chaque album ?

Vince : Il y a une volonté de ne pas se limiter au côté extrême du death metal et le mélanger avec plein d’éléments différents : je pense au saxophone, à toutes les couleurs qui ne sont pas du tout tirées du metal de base et qu'on peut très bien mélanger au death metal.


On parlait de fil rouge. Il y a une cohérence avec vos pochettes d’albums. Est-ce que cela veut dire que tous vos disques sont tous liés comme si en filigrane, un même concept s’étirait sur chaque album ?

Vince : Chaque album est un concept album. Il y a donc bien une cohérence au sein de chaque album. La cohérence globale passe par le fait que depuis le début, on a changé une seule fois de musicien. Yohan (NdStruck : Yohan Dully) a remplacé Hugo (NdStruck : Hugo Florimond) à la guitare mais à part ça, on a toujours gardé la même ossature et ça a toujours été le même processus de fonctionnement.
Tu parlais des pochettes, c'est le même artiste qui les a toutes faites depuis nos débuts. C'est le même producteur qui mixe nos albums depuis le début… On aime bien travailler et développer des relations sur le long terme.


On peut déjà en déduire que vous travaillerez avec eux sur le prochain album ?

Vince : Ce n'est pas exclu qu'on vienne à changer certaines choses par la suite.


Mais ça peut être risqué...

Valentin : Je pense qu'on gardera toujours la patte graphique peinte un peu abstraite...  Je pense qu'on ne va pas non plus aller changer dans l'extrême avec un truc genre dessin animé…


Vous l’avez évoqué, Hugo Florimond votre guitariste a été remplacé par Yohan Dully. Pourquoi un tel changement alors que l’on pensait votre line-up stabilisé depuis le début ?

Vince : Hugo avait besoin de se consacrer à autre chose que la musique et c'est pour ça qu'il a décidé d'arrêter. Malgré tout, il a contribué à cet album -il a joué des solos sur l'album- et le plus important, on reste très bons amis, on se voit régulièrement…


A l’inverse, n’était-ce pas compliqué pour Yohann Dully de s’approprier un album qui venait à peine d’être enregistré ?

Vince : Compliqué pour lui ? Musicalement, on n'a pas eu l'impression : sa première répétition était parfaite. Ensuite oui, effectivement l'album était terminé quand il est arrivé… mais l'histoire va continuer de s'écrire avec lui…


Je suppose qu’il a hâte de proposer de nouvelles idées si ce n’est déjà fait ?

Vince : On n’a pas forcément commencé à écrire. Mais vu qu’il a un gros bagage de vidéaste, il est venu avec ses idées et il a réalisé un des clips du prochain album : il se met tout de suite en valeur.


Le concept de l'album traite du paradoxe de Fermi



Toujours concernant la pochette, le visuel est sombre, mystérieux, avec des tons de rouge qui peuvent faire penser à du sang. Quel est le lien entre ce visuel et le titre de l’album ?

Vince : Le concept de l'album traite du paradoxe de Fermi. Considérant l'immensité de l'univers, il est hautement improbable qu'on soit la seule forme de vie à l'intérieur. Quelles sont donc les explications qui pourraient exister pour justifier le fait qu'on n'ait pas encore détecté d’autres formes de vie ? Dans l'album, chaque morceau va traiter une facette différente du paradoxe et proposer une solution.
Sommes-nous seuls dans l'univers, ce qui est improbable ? Y-a-t-il des facteurs qui font que chaque civilisation atteint une limite à un moment donné ? Est-ce qu'on va vers une autodestruction ? Par exemple, va-t-on arriver à l’épuisement des ressources de la Terre ? Est-ce que la civilisation va s'éteindre à cause de ça ? Est-ce que c'est le destin de toute civilisation ? Est-ce que chaque civilisation avancée -même si je n'aime pas le mot- va arriver à un destin comme celui-là ? Est-ce pour ça qu'on n'arrive pas un niveau technologique suffisant pour laisser une empreinte au-delà de l'échelle planétaire ?
Et donc la pochette de l'album choisit d'illustrer une des facettes de ce paradoxe à savoir la théorie de la forêt sombre -"Dark Forest" en anglais- qui dit grosso-modo qu'il est mieux de rester caché finalement, de rester à faire ses choses dans son coin pour ne pas risquer d'attirer les convoitises d’autres civilisations…
Cette théorie reflète bien ce qui se passe dans l'histoire de l'Humanité à savoir que quand technologiquement, tu es plus avancé, ton objectif est d'écraser les autres. Et si tu veux rester à l'écart de ce risque, le mieux pour ta survie sur le long terme est de rester caché…


Votre actualité est donc la sortie de ce nouvel album "The Great Filters" qui est qualifié comme votre disque le plus ambitieux. En quoi est-ce votre album le plus ambitieux ?

Vince : Personnellement, je m'ouvre plus au niveau du chant, par exemple. C’est une chose sur laquelle j'ai pris confiance -comme sur le saxophone d'ailleurs sachant que c’était quelque chose d’assez nouveau sur le précédent album pour moi. Le fait de toujours continuer à repousser ce qui définit l'identité du groupe rentre aussi dans ce cadre-là…


Tu parlais de ton chant. Le disque propose de belles harmonies vocales proches de celles de Genesis époque Peter Gabriel et "Wind And Wuthering" comme sur le ‘Specific Obsolescence’. Est-ce que c’est un hasard si ces influences ressurgissent dans votre musique ?

Vince : Ce n’est pas un hasard. Je ne sais pas si j'ai été vraiment influencé par le côté rock prog mais le fait de vouloir créer des harmonies vocales -qui sont aussi riches que ce qui se passe au niveau de la musique- était clairement l'objectif sur l'album. Et ça a été un gros défi pour moi parce qu'il y a des dizaines et des dizaines de pistes de chants superposées…


Et le défi ne sera-t-il pas plus grand de les retranscrire sur scène ?

Vince : Sur scène, les morceaux vont prendre vie de manière différente. Nous sommes tous partisans de ne pas forcément chercher à retranscrire à l'identique le morceau en live. Il y a des choses qui peuvent être samplées, un soutien… mais je pense que l'équilibre va forcément être différent en live. Mais nous avons toujours eu des chœurs, il y aura donc au moins trois voix sur scène, sur certains passages…


C’est dans le contraste que la musique prend tout son sens




Il y a un équilibre entre voix claires et grunt, comment avez-vous atteint cet équilibre ?

Vince : Finalement, cet équilibre n'est pas forcément conscientisé, c'est quelque chose qui se fait assez intuitivement. J'ai tendance à dire qu’en musique, c'est le contraste qui est le plus important. Si ta musique est toujours à fond -du début à la fin-, elle en perd son intérêt. C’est dans le contraste que la musique prend tout son sens : un passage va paraître lumineux si le précédent était sombre. C’est le cas en musique mais c'est le cas dans l'art en général...


Et toujours concernant ce chant, on a l’impression que ces deux types de chants dialoguent comme deux personnes différentes. Est-ce c’est ainsi que vous avez conçu les parties chantées, comme un dialogue contrasté entre le Yin et le Yang ?

Vince : C'est en lien avec le concept. Par moments, ce sont les deux voix qui vont amener soit la vision positive soit négative d'un même concept. Et dans certains passages de l'album, effectivement, ça a presque été pensé comme ça.


Le plus important dans l'art est de réussir à se renouveler


On parlait de progressif tout à l’heure. Le disque semble pousser le progressif dans ses retranchements, est-ce qu’il était vital d’aller plus loin et explorer d’autres chemins ?

Vince : Comme on en parlait tout à l'heure, je crois que le plus important dans l'art est de réussir à se renouveler, de proposer quelque chose de nouveau. Il y a donc un côté vital à tout ça. C'est toujours compliqué de réaliser finalement pourquoi on fait tout ça mais je pense que c’est un besoin fondamental de raconter quelque chose de nouveau.


Le disque est varié : piano intimiste, saxophone, rythmes complexes, sans jamais perdre de vue l’intensité. Est-ce c’est une manière de souligner que seule compte l’émotion ?

Vince : Qu’on le veuille ou non, on est humain. La musique doit refléter ce qu'on est en tant qu'humain. Un humain est complexe, un humain n'est pas unidimensionnel et ça peut se refléter dans la musique.
Après, chacun est différent. On peut vouloir mettre en avant une seule facette de sa personnalité dans son art par exemple, ou essayer de s'ouvrir complètement et c’est plus le cas sur cet album.


De façon générale, comment décririez-vous la personnalité de Fractal Universe par rapport aux autres groupes de death progressif ? Est-ce que cette personnalité vient simplement de l'utilisation du saxophone à la manière d’un Ihsahn ?

Vince : C'est vrai que c'est souvent ce qu'on relève et c'est une bonne chose que les gens s'intéressent à nous par le biais du saxophone. Mais c'est quelque chose qui marque les gens en concert, on le voit dès que je sors le saxophone : les téléphones sortent et ça fait plaisir (Sourire). Mais si justement par ce biais, on arrive à captiver les gens et qu'ils vont au-delà de cet aspect, c’est important…


Outre le fait que le saxophone est assez rare dans le metal -je pense notamment à Ihsahn ou Klone- cet instrument qui était à la mode dans les années 1980 ne l’est plus du tout aujourd’hui. Comment expliquez-vous cela ?

Vince : C’est difficile à dire. Je pense que de manière générale, le saxophone n’a jamais été un instrument présent dans le metal depuis ses débuts. Et même de manière générale, je pense que la musique pop actuelle est énormément influencée par les instruments électroniques si bien que tous les instruments acoustiques ont disparu de la musique de manière générale…


C’est dans le contraste que tu peux créer de l'émotion !




Tout en étant très progressif, ce disque est bien plus dense et intense que les précédents, est-ce que vous vouliez intensifier sur les contrastes ?

Vince : Intensifier les contrastes, parce que c’est dans le contraste que tu peux créer de l'émotion ! Après est-ce qu'il est plus dense et intense que les précédents ? Je ne sais pas.


En parlant d'émotions, si on vous dit que ce disque n'est pas seulement un album, mais une vraie expérience sonore, comprenez-vous ça ?

Vince : Tant mieux si c'est le ressenti des gens parce que c'est ainsi été vécu au niveau du processus créatif. De manière générale, je pense que les gens ne prennent plus le temps de s'immerger vraiment dans un album et maintenant, l’écoute passe beaucoup par des playlists, des singles par ci par là… Pas mal de choses se sont perdues dans ce processus…
Il y a beaucoup d'albums -celui-ci compris- prennent tout leur sens quand on les écoute du début à la fin et c’est ce que j'inviterais les gens à faire…


Et finalement quelles sont vos attentes pour cet album ?

Valentin : De bons retours (Sourire)…

Vince : Le défendre sur scène parce que la musique en général -et la nôtre en particulier- prend tout son sens quand tu la partages sur scène. Finalement, on ne se rend pas compte de l'impact qu'on peut avoir sur les gens alors que s'il est en face de toi, tu vis vraiment un moment de partage unique avec lui : c'est complètement différent !


Concernant la scène, vous avez joué dans beaucoup de festivals, notamment au Hellfest -qui devait être un rêve de gosse et synonyme de consécration- quelle pourrait-être l’étape suivante ?

Valentin : On avait en tête de faire une tournée aux Etats-Unis et c’est ce qui va se produire dans un mois en support d’Obscura avec qui on avait joué en 2020 et on a gardé un excellent souvenir. Sachant qu’en outre, Vince et Clément vont jouer dans Obscura en musiciens de session…


Une tournée de combien de dates ?

Vince : C'est une tournée d'un peu plus mois donc il y a une grosse trentaine de dates...


Et financièrement, vous n’en avez pas trop de votre poche ?

Vince : A priori, on devrait s'en sortir financièrement. On a beaucoup de frais à avancer mais c’est complet tous les soirs et avec les ventes de merchandising, on devrait pouvoir les amortir ,ce qui est déjà une énorme performance.


Et pour en revenir à la question, vous avez coché une nouvelle case de vos rêves. Quelles sont les autres ?

Valentin : Personnellement, je rêverais de faire une tournée avec Gojira par exemple.

Vince : Il y a tellement d'artistes avec qui je souhaiterais tourner : je pense notamment à Opeth par exemple… Mais un autre rêve serait d’explorer d'autres continents : l'Amérique du Sud ou l'Asie… ce sont des marchés qu’on n'a pas encore touchés...


Mais pensez-vous qu’il y ait un marché pour Fractal Universe ?

Vince : Pour nous spécifiquement, je ne sais pas. Autant on a pas mal d'audience aux États-Unis, Canada, même Amérique du Sud autant pour l'Asie, je sais qu'on a de gros fans à Taïwan par exemple. Mais il y a un public pour le metal de manière générale et pas seulement au Japon...


Vous avez évoqué une tournée américaine en ouverture d’Obscura mais avez-vous déjà programmé une tournée française voire européenne en tête d’affiche ?

Vince : C'est en train de se construire. Pour la sortie de l'album, on a quelques dates en France et en Espagne. Puis, on a quelques festivals pour cet été et l'automne. Mais on travaille sur une tournée en tête d'affiche pour la fin d'année.


Pour finir et pour boucler la boucle : on a commencé par la question qu'on vous a trop souvent posée, au contraire, quelle est celle que vous souhaiteriez que je vous pose ou à laquelle vous rêveriez de répondre ?

Vince : C'est difficile comme question (Sourire) !





Vous semblez sécher ce que je vous propose, c'est d'y réfléchir et puis pour la sortie du prochain album -je ne sais pas quand exactement mais vu que le précédent est sorti en 2021, on se donne rendez-vous en 2029 ?

Vince : On va essayer d'être un peu plus rapides (Rires)…


Et donc que ce soit en 2029 ou avant, je vous propose d’y réfléchir et on débutera la prochaine interview par cette question et votre réponse.

Valentin : Il faudra qu'on fasse le point sur les questions qu'on ne nous pose pas (Sourire)…

Vince : C’est ça (Rires) !


Merci à ThibautK pour sa contribution...


Plus d'informations sur https://fractaluniverseband.bandcamp.com/
 
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